Si vous suivez nos réseaux sociaux, ou si vous aimez la bonne musique, vous avez sûrement entendu parler d’ Alexandre Ash, guitariste et membre fondateur du groupe de Metal ATLANTIS CHRONICLES (mais pas que), il est aussi un fier représentant des guitares Schecter.


Bonjour Alex, peux-tu nous parler de ton parcours musical et de tes influences ?
J’ai démarré la guitare à 17 ans dans une école de musique de quartier. J’ai eu la chance d’avoir un super professeur qui aimait le Metal et autres musiques actuelles. Ça m’a permis d’apprendre les bases de la guitare, et même plus. Suite à ça, j’ai monté avec Sydney (batterie), que je connais depuis l’âge de six ans un groupe du nom d’ABYSS . On faisait du Trash/Death et on aimait y mélanger d’autres univers. Puis on a construit, fait évoluer ABYSS avec les mêmes membres entre 2009 et 2013 en ATLANTIS CHRONICLES. Groupe de Metal dans lequel je suis toujours ! Et à côté, je fais divers projets.
Tu as créé ATLANTIS CHRONICLES en 2013 comment cela s’est passé ?
À l’époque, en 2009, il y avait ABYSS, où j’étais guitariste et chanteur. On a eu envie d’évoluer pour faire un style un peu plus technique qui ressemblait plus à ce qui nous inspirait. On a donc recruté un chanteur (Antoine qui est aujourd’hui un ancien membre) avec lequel ça a directement matché.


À partir de ce moment, on a pu exploiter pleinement le potentiel du projet, car toutes les cartes étaient réunies. Il y a eu quelques changements de line up en cours de route, mais avec toutes ces personnes avec qui on a construit ce projet, on a composé deux albums du nom de “Ten miles underwater” sortie en 2013 et “Barton’s odyssey” sortie en 2016.
Tu as d’ailleurs pas mal de projets musicaux à côté, tu peux nous en parler ?
Oui, en effet, j’ai plusieurs projets musicaux à côté. Je commence à sortir des projets sous mon nom de scène Alexandre Ash comme récemment « Nos maux » ou encore « ce qu’ils n’osent pas dire », où je collabore avec des inconnu(es). Je vais également prochainement sortir un E.P orienté guitare solo/instrumental qui sortira vers décembre 2021. Ce projet mélangera des sonorité Metal, 8 bit et ambiante. J’ai aussi un projet avec le batteur de RED MOURNING (Aurélien Renoncourt ) et le bassiste de PREATORIA (Nicholas Stacpoole) du nom The OWL’S WATCHING YOU (T.O.W.Y) qui oscille entre du Metal prog et toutes sortes d’influences.
On aimerait sortir ce projet vers le 1er trimestre 2022. Et je vais aussi bientôt mettre en avant un projet que j’ai fais lors d’une résidence artistique avec mon cousin (Quentin Aurat) plus typé Post Rock qui devrait voir bientôt le jour. J’ai pas mal d’idée de création de projet musical, mais j’ai décidé de me calmer et de sortir tout cela avant de me concentrer sur d’autres.
Tu joues sur les guitares Schecter depuis longtemps, avant même d’être endorsé, comment as-tu connu la marque ?
LE ZOOM MATOS
Ma première Schecter était la C-1 Classic que j’ai toujours. Je cherchais une guitare à l’époque (2009) qui allait pouvoir m’accompagner dans le temps et c’était la première fois que j’allais mettre autant d’argent dans une guitare. C’était l’époque où Schecter commençait à s’installer sur le marché Français. J’étais à Lead Guitar, un bon vieux magasin qui a fermé maintenant en plein Pigalle. Je l’ai essayé et je l’ai réservé de suite, j’ai économisé et voilà ! Quelques années plus tard, j’ai eu l’honneur de rejoindre l’équipe en tant qu’endorsé.
Peux-tu nous parler de tes différents modèles de guitares et comment tu les utilises ?
J’ai une Reaper 6 Floyd Rose Sustainiac dont je me sers principalement pour mon EP solo à venir, je joue beaucoup avec le Floyd et j’utilise à des moments clefs le micro Sustainiac. J’ai aussi la C-1 Classic qui me sert aujourd’hui beaucoup pour test d’accordage, ou quand j’ai besoin d’un ton Jazz ou Stoner. J’ai également la Hellraiser Extrême qui est une guitare incroyable, j’enregistre souvent en studio avec, notamment pour les albums d’ATLANTIS CHRONICLES . Et j’avais une Blackjack SLS qui est maintenant entre les mains de Julien qui joue à mes côtés dans ATLANTIS CHRONICLES .

